L'Afrique francophone produit peu d'albums, une petite dizaine par an, tout au plus. Le manque de salons et de festivals spécialisés dans le neuvième art en est l'une des raisons. La création du Festival International de Bande Dessinée d'Alger (Fibda), en 2008, a commencé à changer la donne. Doté de moyens importants, soutenu par le Ministère de la culture, le Fibda a eu un effet levier non seulement pour la bande dessinée algérienne, mais aussi pour celle de l'ensemble du continent (...)
[Lire la suite de l'article de Christophe Cassiau-Haurie publié par MondoMix]