Dans ce livre qui relate une histoire vécue et réelle, le mot sorcier n'est pas employé dans le sens qui lui est donné en français, c'est-à-dire féticheur où une personne qui soigne avec les plantes, exorcise les malades. Ici le sorcier c'est celui qui fait le mal par des moyens mystiques : il mange l'âme de ceux qu'il tue ; c'est l'anthropophage de la nuit, de l'invisible.