La brume matinale de l'harmattan recouvrait les eaux de la Soumba, dans une espèce de voile fait de volutes ondulatoire sous l'œil du zéphir. Malgré cette fraîcheur, le port de pêche était déjà envahi par des porteuses de calebasses et de paniers en osier tressé… Soudain des claquements de mains, accompagnant une chanson de joie fusèrent pour accueillir les héros du jour. La prise était en effet abondante.