Cinéma Comorien Carte blanche à Soeuf Elbadawi, auteur comorien, en résidence à la librairie Folies d'Encre et rencontre avec les réalisateurs, à l'issue des projections. "Aux Comores, la production cinématographique en est encore à ses débuts. Beaucoup de projets, peu de moyens. Mais l'apparition à la Semaine de la Critique à Cannes, en 2008, de Résidence Ylang Ylang, court-métrage de la jeune Hachimiya Ahamada, fait qu'on en parle. L'émergence de nouveaux réalisateurs a par ailleurs généré un festival à Moroni, le CIFF, dont la seconde édition s'est tenue en novembre dernier. À l'occasion d'une carte blanche accordée à Soeuf Elbadawi, auteur comorien en résidence à la librairie Folies d'Encre à Saint-Denis, l'Écran consacre une soirée aux images produites par cet archipel, situé dans l'océan indien."
Les films
UHURU NA IGABUO - de Soeuf Elbadawi (16')
Un entretien accordé par Abdou Bakari Boina, l'un des fondateurs du Molinaco, le parti mythique des années de lutte pour l'indépendance des Comores.
OMNI-MOM - de Sania Chanfi (4') (procédé du stop motion)
Une mère célibataire nous livre un témoignage original et enthousiaste de sa situation.
TIME - de Farouk Djamily (4')
Une interrogation philosophique sur le temps.
L'IVRESSE D'UNE OASIS - de Hachimiya Ahamada (1h30)
La maison familiale construite aux Comores par le père de la réalisatrice attend toujours ses occupants...
19h
2 fiches