Africultures, c'est plus de 186 000 abonnés à la newsletter dans le monde entier, une revue trimestrielle éditée chez L'Harmattan, 10 000 articles en ligne et six salariés sur le site des Pilles, dont trois développeurs PHP.
Le web : un incroyable vecteur de développement
"Nos locaux n'ont rien à voir avec des bureaux conventionnels ! reconnaît Olivier Barlet, directeur des publications d'Africultures et propriétaire de la maison. Mais être installés ici nous évite de payer un loyer." Un lieu de travail pas banal, c'est le moins que l'on puisse dire : les salariés accèdent à leurs bureaux, dispersés sur les trois étages de la maison de pierre, par de pittoresques escaliers en colimaçon. Dans tous les coins sont entassés livres, souvenirs et objets d'art africains [...].
Car en plus de la revue et du site web, "Africultures" c'est aussi "Africiné", site web dédié au cinéma africain, "Afrilivres", où sont regroupés différents éditeurs francophones d'Afrique, ou "Afriphoto", agence de photographie en ligne, qui promeut les photographes africains dont les images sont vendues dans plusieurs magazines et journaux de France et du monde. "Tous ces sites nous permettent d'exister grâce à un apport financier", précise Olivier Barlet. Le mélange des cultures : un enrichissement"Notre credo à tous, c'est la théorie du philosophe martiniquais Édouard Glissant, selon laquelle le mélange des cultures est un enrichissement : le mélange n'entraîne pas de perte de la culture d'origine. Cette vision basée sur une identité en devenir nous rassemble tous" (...)
[Lire l'intégralité de l'article d'Audrey Morel, publié dans Le Dauphiné Libéré]
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