Avec la volonté de déconstruire les mythes persisants sur la sexualité de l'homme noir, le film mélange les conventions de genre et un commentaire sur la société, afin de créer une exploration hautement symbolique des programmes psycho-sexuells de l'époque. Même si'il a été estampillé comme un film de la Blaxploitation (avec une sortie en vidéo sous le titre "Soul Vengeance", en français "Vengeance de l'âme"), le premier long métrage de Fanaka est un conte subversif concçue comme la revanche d'un homme africain américain humilié et caricaturé par un establishment blanc corrompu.
Réalisateur : Jamaa Fanaka
USA, 1975, Fiction, 1h31 min, 35mm, couleur,